mardi 12 août 2014

Mort de l'acteur Robin Williams! Dépression, bipolarité...suicide! Quelle tristesse


ROBIN WILLIAMS
 
AU REVOIR

 
Ce matin, en partant de la maison pour aller au boulot. Je descendais les escaliers et sous le pas de la porte de mon voisin, j’ai eu un face à face avec la première page du Journal de Québec annonçant que cet acteur est décédé. Ouf! Ce

On dit qu'il était bipolaire, et que cette maladie mentale très intense a eu raison de lui, ces démons l'ont dévorés de l'intérieur. Quelle tristesse. J'ai entendu plusieurs histoires touchantes et difficiles de gens qui vivent avec des troubles de bipolarité. C'est excessivement difficile de vivre avec de tels fantômes intérieurs. Un suicide par asphyxie il semblerait! Mais j'ai entendu aussi, qu'il se serait ouvert les vennes, pendu avec sa propre ceinture....On dit qu'il avait un début de parkinson et qu'il ne l'acceptait pas dutout....On dit tellement de choses...mais il souffrait sous plusieurs angles assurément.

My god...Il souffrait ces derniers temps d'une dépression sévère comme l'a mentionné son attachée de presse, Mara Buxbaum.
C'est très funestre cette nouvelle et je dois dire que je suis vraiment surprise. J’ai eu envie d’en connaître un peu plus sur les circonstances de sa mort, puisque je n’aurais jamais cru que derrière le regard de cet homme merveilleux au joli minois, si remarquable, fascinant, divertissant et enjôleur, existait une grande noirceur.
De plus, j'ai eu un frisson dans le dos, puisque pas plus loin que dimanche, j'écoutais un de ces multiples succès cinématographiques. Quelle coïncidence.
 
J'ai vu cette photo...qui m'a transperçée. Quelle tristesse, quelle souffrance, c'est une couleur qui rongeait l'intérieur de cet homme magnifique qui a marqué l'histoire sous bien des manières. Oui, un légendaire acteur. Ceux que l'on croit parfois les plus drôles, les plus heureux, sont parfois ceux qui souffrent le plus. Derrière le masque de Monsieur sourire, planait une grande détresse.
 

J'ai été touchée par les poar

L'émotion plane un peu partout dans le monde, mais surtout dans l'entourage proche de ce cher regretté Robin! La douleur est encore plus vive et agressive puisqu'il s'agit d'un suicide. Il a donc été révélé au monde entier le grand degré de souffrance qu'il vivait, chose que bien peu de gens pouvaient soupçonner. Moi la première! J'ai naviguer un peu sur le web et je vous site certains passages pour mieux comprendre ce drame. en lisant j'ai compris qu'il avait bons nombres de nuages noirs dans sa vie.
 
"On savait Williams aux prises avec ses démons, comme le sont d'ailleurs bien des humoristes et acteurs qui travaillent sans filet en repoussant toujours plus loin leurs limites. Mais ils n'en meurent pas pour autant. Du moins, pas tous. Pourquoi lui? Pourquoi maintenant? Pourquoi partir alors que la planète n'a jamais eu autant besoin d'un regard aussi génialement fantaisiste?

Barack Obama lui-même, a réagi au décès du comédien. «Robin Williams était un aviateur, un médecin, un génie, une gouvernante, un président, un enseignant, un Peter Pan vieillissant. Il était unique en son genre. Il est entré dans nos vies comme extraterrestre, mais il a fini par toucher toutes les parties de l'âme humaine.»
 
La bipolarité de Robin Williams était notoire. Ses excès d'alcool étaient aussi connus. Mais l'annonce d'une mort par suicide comporte toujours un aspect plus choquant. Sentant bien l'émoi créé par cette disparition aussi subite que tragique, l'amoureuse de l'acteur, Susan Schneider, a rendu publique une déclaration dans laquelle elle exprime son profond chagrin. Elle a par ailleurs aussi lancé un appel."

 
Voici les mots de sa femme:
 
«Je souhaite que l'accent ne soit pas mis sur les circonstances de la mort de Robin, mais plutôt sur les innombrables moments de joie et de rire qu'il a donnés à des millions de gens»

 
 
 

 


 

 
 
 

 
 



 
 
 
L'acteur, originaire de Chicago, avait trois enfants.
Sa femme Susan Schneider, épousée en troisièmes noces en 2011.
La carrière de Robin Williams s'est étalée sur quatre décennies, passant d'un registre à l'autre, du dramatique au comique en passant par la télévision.
Après avoir étudié l'art dramatique à la prestigieuse Julliard School, il a commencé sa carrière par des spectacles de one-man show dans des clubs de nuit. Il a percé dans un épisode de la série Happy Days en 1974, puis dans un film télévisé tiré du personnage de Mork qu'il y incarnait, Mork and Mindy, pour lequel il reçu son premier Golden Globe.
 
Il en a eu quatre au total, notamment celui du meilleur acteur pour Good morning Vietnam, de Barry Levison, un rôle grâce auquel il a atteint une renommée mondiale. Il a conquis le grand public du monde entier avec un rôle poignant de professeur brillant face à des adolescents influençables dans La Société des poètes disparus (1989), et dans un registre comique dans des films comme Madame Doubtfire (1993), qui lui a également valu un Golden Globe, ou encore dans la série de films pour petits et grands La nuit au musée.
C'est grâce à sa performance dans Le destin de Will Hunting qu'il a reçu son seul oscar en 1998, dans la catégorie meilleur second rôle. Il avait été nominé trois autres fois.

La vie personnelle de Robin William n'a toutefois pas toujours été une comédie. Il a reconnu avoir été toxicomane et alcoolique au cours des années 70 et 80. L'acteur avait annoncé qu'il avait recommencé à boire mais cela ne l'empêchait pas d'en rire. «Je suis allé me faire traiter là où il y a du vin. Je veux garder toutes mes options», lançait-il pendant sa dernière tournée de spectacles.
 
Né en 1951, Robin Williams racontait qu'il était un garçon timide qui pouvait faire rire sa mère en imitant sa grand-mère. Il est devenu plus ouvert à l'école secondaire quand il s'est inscrit dans une troupe de théâtre. Il a été accepté à l'académie Julliard où il a suivi plusieurs cours avec un seul autre élève, Christopher Reeve. Leur professeur était John Houseman qui l'a encouragé à devenir comédien.
 
Pour Robin Williams, la vie ressemblait à ses séances quotidiennes de course sur le pont Golden Gate. Il regardait parfois dans le vide, une partie de lui-même reculait de peur, l'autre insistant pour voler. «On a une tendance à se critiquer soi-même, à se dire qu'on peut faire plus. C'est peut-être ce qui nous fait avancer, disait-il. C'est peut-être un démon, d'autres disent que c'est une muse. Non, ce n'est pas une muse! C'est un démon! FAIS-LE, BÂTARD! Ha!HaHa! CE PETIT DÉMON!»

«Je ne peux pas croire qu'il soit mort» Est la phrase sur toutes les lèvres en ce moment!

Bon nombre de personnalités ont été grandement attristées par l'annonce de la mort inattendue du comédien américain Robin Williams.
 
Le réalisateur Steven Spielberg, qui l'avait engagé pour jouer un Peter Pan vieillissant dans Capitaine Crochet a dit de Robin qu'il était un créateur de génie. «Robin Williams était un éclair. Le rire du public, son tonnerre. C'était un ami et je ne peux pas croire qu'il soit mort», a-t-il déclaré par communiqué.
 
Plusieurs ont fait état de leur surprise. «Je ne peux pas être plus stupéfait par la perte de Robin Williams, un grand homme, un être talentueux, un partenaire, un génie authentique», a écrit sur Twitter le comédien Steve Martin, avec qui il avait partagé la scène sur Broadway en interprétant
En attendant Godot.
 
La comédienne Pam Dawber, qui était la Mindy de la série Mork and Mindy a dit qu'elle était «complètement dévastée» par la nouvelle. «Que peut-on dire de plus?»
 
Le comédien Steve Carrell a souligné que l'acteur rendait le monde meilleur. Quant à Ben Stiller, il s'est exprimé en disant qu'un message tweet «ne commence même pas à décrire l'immensité de son coeur, de son âme et de son talent».
 
Jay Leno a raconté qu'il avait rencontré Williams pour la première fois lorsque celui-ci avait passé une audition à l'Improv (une chaîne de clubs). «Nous sommes demeurés amis depuis ce temps. C'est une journée très triste.»
 
L'onde de choc de la mort de Robert Williams a rapidement atteint le Québec.
«Troublant à quel point les plus drôles sont souvent les plus tristes...», a affirmé Dany Turcotte.
 
Comme plusieurs, les circonstances de la mort de Robin Williams ont ému le comédien Martin Petit. «On a eu la lumière, il s'est gardé l'ombre», a-t-il écrit.

Va en paix mon cher Patch, mon cher Peter Pan, mon cher Robin!



 

vendredi 8 août 2014

Mariève Tremblay a une belle rencontre avec Josélito Michaud ! J'ai déjà hâte de te revoir :)

 
Josélito Michaud
 
 
 
 Embarquons ensemble
pour un petit voyage au coeur des mots!
 
 
 


 
 
 
 
On le connait bien grâce à ces talents d'imprésario, d'auteur de livres à succès comme Passages obligés qui parle de deuil, Dans mes yeux à moi ou La gloire démystifiée. On le connait aussi comme animateur de radio, gérant d'artiste pour Isabelle Boulay, comme dirigeant de la première édition de Star Acadmie, 
on le surnome " l'homme-orchestre de la scène médiatique". Un être ayant vécu une enfance terriblement difficile, dont il a peine encore à se remettre aujourd'hui. C'est un battant, un vaincoeur et à travers mes yeux à moi, il est un être revenu de loin, une âme qui a voyagée en suivant une étoile bien précise. Dans mes yeux à moi, il est un homme à part, d'une force inépuisable, au talent indiscutable et avec un coeur en or. Également un époux aimant, marié à la belle Véronique Béliveau depuis 20 ans, père de deux beaux enfants qu'ils ont adoptés. 
 
Son histoire m'a marquée sous bien des sphères, et son courage, je le Salut. Tu es un homme exceptionnel Josélito Michaud!
 
 
 
J'ai été hypnotisée par son émission:
"On prend toujours un train" qui m'a fait pleuré d'une manière inimaginable, j'étais toujours profondément boulversée quand je regardais ces émissions. Parfois même je me demandais pourquoi ça me touchait à ce point et pourquoi j'étais si inconsolable.
Mon âme, mon esprit, mon coeur et tout mon être étaient transporter ailleurs, dans une mémoire, dans des parties de moi cachées où la souffrance et certaines blessures ne pourraient jamais être totalement oubliées. Et toute la beauté, l'amour, l'amitié, la complicité et l'espoir qui découlaient de cette émission m'ennivraient tout autant.
 
Depuis, je rêve d'être un jour assise face à lui dans ce train pour lui parler ouvertement tout en voyant les paysages se défiler devant mes yeux, ouvrant mon coeur à cet homme qui est unique, au vécu vif, ayant vécu des moments sépulcraux. J'ai beaucoup de respect pour cet homme, son histoire m'a marquée et ma rencontre avec lui aussi, il m'a prit dans ces bras et il se rappelait même de moi, puisque quelques années auparavant, on avait eu un contact. Je lui parlais de mes écrits. Quand il m'a vu, il m'a dit : Et puis, il est où ton livre? Je l'ai trouvé absoluement merveilleux et j'ai été très heureuse de le rencontrer. Il est très drôle et attachant, j'ai tout de suite connectée. Il m'a fait des confidences par rapport à l'écriture et j'ai pris conscience de certaines choses sur moi-même également. Merci pour ce beau moment. Ça été un honneur de te rencontrer.
 
J'ai lu son livre : Dans mes yeux à moi et j'ai pleuré, j'ai ragé, je me suis vu en lui sous bien des manières et son histoire m'a boulversée au plus haut point. J'ai passé par toute la game des émotions. Oui, c'est venu chercher l'émotion au plus profond de mon être, aussi profond que peut l'être un océan. Un océan d'amour où j'y nage depuis ma naissance. J'ai toujours dit que Dieu avait dû me donner plus d'un coeur, car aimer comme j'aime, ne peut être possible pour un seul coeur. J'ai toujours dit que j'aimais pour tous ceux qui étaient incapable d'aimer ou pour tous ceux qui manquaient d'amour. Depuis que j'ai 2 ans, le jour où j'ai pris mon petit frère dans mes bras, j'ai compris que l'amour était ma mission de vie, car j'en suis immergé depuis toujours. La vie a fait de moi une âme maternelle envers tous, la mère thérésa de la famille comme le dit si bien ma famille et amis(es).
 
( Mon éloge littéraire sur ce récit de Josélito sera publier sur mon Blog Bouquinerie CafeyCho comme d'habitude)
 
Il a dit ceci dans une entrevue un jour : «Je suis un autodidacte, j’apprends en faisant. Je n’ai jamais été comme les autres. C’est comme ça que je suis. Je ne sais pas faire comme les autres et je ne serais pas bon si j’essayais.»
 
Ces mots ont raissonnés dans ma tête, car ils ont également été écrits pour moi. Comme si Josélito avait entendu mes pensées et y avait déposé des mots qui sonnaient comme des notes de musique jouant la symphonie de ma vie et de ma personnalité.
 
Cher Josélito, j'espère qu'on aura bientôt la chance de se revoir. Oui, je vais avoir terminé sous peu mon récit, promis :) J'ai très hâte de te faire découvrir mon histoire à moi, sous mon soleil à moi, sous mes yeux à moi.
 
Mon Éloge sur ton livre que je viens de terminer te sera envoyé dans les prochains jours.
 
 
Continue à marcher sur cette ligne de ta vie, car tu es bénis et guider par une force d'amour.
Merci d'être qui tu es. Merci d'avoir croisé ma route.
 
Sincèrement,
Mariève