mardi 30 septembre 2014

Les enfants du Désert au Maroc décrit par Mariève Tremblay

                                                                    
Un beau message des Fondateurs Des enfants du Désert:
 

 


 
 
 
 
 
 
 
Ce fût alors le début d’une grande aventure avec la déclaration officielle d'Enfants du désert en 2005. Les choses se sont ensuite accélérées assez rapidement avec un partenariat " L'agence Désertours" qui, aujourd’hui encore, permet de récolter plus de 80 tonnes de matériel par an !
 
Grâce à ce partenariat, les projets se sont développés et l’équipe de bénévoles s’est agrandie…
Que ce soit d’ordre médical, pour la gestion des projets en amont ou les installations photovoltaïques, nous travaillons avec une équipe de professionnels spécialisés. En effet, des ingénieurs énergétiques, des pédiatres et infirmières offrent leur temps pour les différents projets que nous mettons en place.
 
Pour en savoir plus cliquez sur ce lien:
 
 
Alors voici ma petite contribution à ce projet suite à une conversation avec une personne que j'adore, une collègue de travaille, Michèle Méthot, qui m'a parlé de l'implication de son amie Kareen Labonté-Bédard. Son histoire, son cheminement et cette fondation m'ont inspirés.
 
Ça fait beaucoup de bien de voir tout le bien et le bon en ce monde.
 
Merci d'être ce que vous êtes.
 


 
Merci de permettre à tous ces gens d'avoir du meilleur dans leur vie.
 
J'ai fais des petites pochettes avec brosse à dents, pâtes à dent, crayons, effaces, savons...et je me dis qu'un enfant du désert au Maroc ouvrira cette petite pochette et sera heureux!
 
Wow! C'est un sentiment merveilleux. Ça me comble de joie.
 
 

 
Merci beaucoup pour tout ce que tu fais en ce monde,
 tu fais de ce monde, un monde meilleur Kareen.
 
Toi et tout le monde derrière La Fondation Les enfants du désert!
 
Merci à la vie pour tous ces beaux miracles d'amitié, de partages, de dons de soi et d'amour!
 
J'ai bien l'intention de continuer sur cette lancée et de vous aider encore et encore.
 

lundi 29 septembre 2014

Fondation espoir d'enfants! Projet magnifique pour les enfants en Haïti. Mariève Tremblay y participe.



Liz Dion, une amie à mon travail qui s'implique dans des causes admirables depuis des années, m'a donné envie de m'occuper cette année:

De la cause Fondation espoir d'enfants

Cette cause consiste à ramasser des livres pour enfants, parents, enfin tout le monde quoi! Des livres qui traverseront l'Océan pour atterrir dans des villages d'Haïti. Ayant moi-même fait une formation missionnaire en 1999 pour aller à Port-au-Prince, l'histoire d'Haïti m'a toujours touchée. J'ai donc été interpellée par cette Fondation et je compte bien tout faire afin de leur ramasser des livres aussi souvent que je peux.

L'histoire de Louise-Andrée Morin et sa fille ici-bas, Betty Fournier, est très touchante et inspirante. La mère de Betty, a fourni des fonds, du temps et de l'énergie afin d'offrir un mieux être aux Haïtiens qui avaient envie de lire entre autre.

Depuis 12 ans elle fait tout ce qui est en son pouvoir afin que les livres envoyés soient dans des endroits convenables, alors elle a insisté et travailler très fort pour faire construire des bibliothèques! N'est-ce pas extraordinaire!

Je lui donnerais un trophée pour tout ce qu'elle a fait. Aujourd'hui, grâce à elle, grâce à son désir, à son grand cœur et à sa générosité, plein de gens peuvent aller dans une bibliothèque lire nos livres envoyés avec amour! Ils peuvent tenir nos livres entre leur mains et y découvrir des histoires, des connaissances... 

Je regardais ces livres que je tenais dans mes mains et j'étais envahie d'amour pour les sourires qu'ils allaient offrir dans ce pays. J'étais reconnaissante de pouvoir participer à ce projet, et je voyais un enfant tenir ce même livre que je tenais et je pouvais voir ces petits yeux joyeux regardant ce livre.
 Oui, je voyais un enfant lire un livre de Walt Disney ou une femme lire une histoire d'amour...et j'étais remplie de joie. N'Est-ce pas merveilleux, magique, grandiose? Penser à cela, ça me remplie de bonheur.


 
Moi et Betty Fournier, la fille de Louise-Andrée Morin


 

 
Alors si vous avez des livres à donner, prenez contact avec moi et on fera des heureux et des heureuses!
 
Merci Betty, j'ai adoré ma rencontre avec toi. Malgré le fait qu'on était un peu pressée et qu'il y avait beaucoup de monde autour, on a pas eu la chance de discuter comme je l'aurais souhaiter, mais on va se revoir, j'en suis certaine!
 
Merci à toi et merci à ta mère, pour tout ce que vous faites, Merci à Liz Dion qui donne tant de son énergie, son amour et son temps pour maintes causes de ce genre, merci à vous de rendre ce monde meilleur.
 
Vous avez toute mon admiration!
 
Mariève
 

jeudi 11 septembre 2014

La déclaration Barak Obama en ce 11 septembre 2014 Triste nouvelle...





Je suis bien triste d'apprendre cette nouvelle...je vous avoue que la guerre dans le monde me terrifie. c'est quelque chose qui m'a toujours fait peur, et je trouve bien triste de voir que ça continue...pays entre pays, frères entre frères, soeurs entre soeur...nous sommes tous des êtres humains et nous devrions tous marcher main dans la main, mais je me demande si un jour cela viendra. C'est une réalité que j'ai bien du mal à comprendre. Je vais continuer à mettre le monde tout entier dans mes prières.
 
voici les dernières nouvelles qui m'attrisent tant :

Le président Barak Obama se dit prêt mercredi à frapper l'État islamique en Syrie et à étendre les raids menés en Irak depuis un mois, promettant, lors d'une allocution solennelle, de "détruire" le groupe djihadiste ultra-radical. À la veille du 13e anniversaire des attentats du 11 Septembre, le président américain a promis de frapper "où qu'il soit", grâce à la puissance aérienne des États-Unis, mais aussi en renforçant le soutien aux forces irakiennes d'une part et à l'opposition syrienne modérée d'autre part.
 
"Je n'hésiterai pas à agir contre la Syrie, comme en Irak", a déclaré Barack Obama, debout devant un pupitre, drapeau américain en toile de fond. Le président n'a donné aucune indication de calendrier : "Nous n'allons pas annoncer nos coups à l'avance", a expliqué un responsable américain sous le couvert de l'anonymat. "Notre objectif est clair : nous affaiblirons, et, à terme, détruirons l'EI", a poursuivi Barack Obama, estimant que les djihadistes sunnites qui ont décapité deux journalistes américains appartenaient à "une organisation terroriste qui n'a d'autre vision que le massacre de tous ceux qui s'opposent à elle".
 
Tout en réaffirmant que l'envoi de troupes américaines de combat au sol était exclu, Barack Obama a annoncé l'envoi de 475 conseillers militaires supplémentaires en Irak pour soutenir les forces kurdes et irakiennes en termes d'équipement, de formation et de renseignement. Cela portera à environ 1 600 le nombre de militaires américains présents dans le pays. Dans un discours d'un quart d'heure, le président américain a appelé le Congrès à lui donner plus de ressources pour équiper et entraîner les rebelles syriens. Signe de la sensibilité politique du sujet, les républicains se réuniront jeudi matin à huis clos pour débattre de la marche à suivre.

Différent des guerres en Irak et Afghanistan

Barack Obama, qui a toujours affiché sa volonté de tourner la page d'une "décennie de guerre", a assuré que cette campagne s'inspirerait de celles menées depuis des années contre les islamistes au Yémen ou en Somalie et serait fondamentalement "différente" des guerres en Afghanistan et Irak, initiées par son prédécesseur, George W. Bush. Si elle a mené plus de 150 frappes aériennes dans le Nord irakien qui se sont révélées déterminantes dans la reprise par l'armée et les forces kurdes de certains secteurs, l'administration Obama se trouve dans une position beaucoup plus délicate en Syrie, où elle a désormais un ennemi commun avec le président Bachar el-Assad.
Lors d'une conversation téléphonique quelques heures avant cette allocution, Barack Obama et le roi Abdallah d'Arabie saoudite avaient souligné qu'une opposition syrienne modérée plus forte était "essentielle" pour faire face aux djihadistes ainsi qu'au régime Assad "qui a perdu toute légitimité". Les États-Unis ont reçu l'appui de nombreux pays, comme la France, qui organisera lundi à Paris une conférence sur l'Irak, à laquelle participera John Kerry. Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a précisé mercredi que la France participerait "si nécessaire" à une action militaire aérienne en Irak.
John Boehner, président républicain de la Chambre des représentants, a salué mercredi soir le discours présidentiel, mais il a fait part de son inquiétude face à l'urgence de la situation. Il a ainsi estimé qu'entraîner et équiper les forces irakiennes et l'opposition syrienne était indispensable, mais il a jugé que les mesures annoncées "pourraient prendre des années". "Il faut faire plus", a lancé en écho Kevin McCarthy, leader républicain de la Chambre.

Deux tiers des Américains pour les frappes

À Bagdad, John Kerry, qui a entamé une tournée destinée à mettre en place une coalition internationale contre les djihadistes, a affirmé que l'armée irakienne, mise en déroute par l'EI au cours de ces derniers mois, serait "reconstituée et entraînée" avec l'aide des États-Unis et d'autres pays. Le chef de la diplomatie américaine a, comme le président, écarté l'idée d'envoyer des troupes de combat, "à moins bien sûr qu'il ne se passe quelque chose de très, très grave". Sa visite a été marquée par un double attentat à Bagdad qui a fait au moins 19 morts.
Après Bagdad, John Kerry se rendra mercredi soir à Amman puis jeudi à Jeddah, dans l'ouest de l'Arabie saoudite. Il y rencontrera les chefs de la diplomatie des six monarchies arabes du Golfe ainsi que des représentants d'Irak, de la Jordanie, de l'Égypte et de la Turquie. Les Américains veulent notamment obtenir le soutien des monarchies du Golfe qui, après avoir été accusées de financer des groupes radicaux, ont pris récemment conscience de la menace que représente l'EI pour leur propre stabilité.
La perception de la menace a changé aux États-Unis depuis la décapitation de deux journalistes, James Foley et Steven Sotloff. Selon un sondage réalisé pour le Washington Post et ABC News, plus de deux tiers des Américains soutiennent désormais des frappes aériennes américaines en Irak. Il y a un an, Barack Obama annonçait que les États-Unis étaient prêts à frapper des cibles du régime syrien avec l'objectif de dissuader Bachar el-Assad de recourir de nouveau à son arsenal chimique. Il avait finalement renoncé face à l'hostilité du Congrès et à la faveur d'une proposition russe de destruction des armes chimiques syriennes.
 
 
Je prie le ciel que la guerre n'éclate pas et que la paix se propage.
 
 
 
 

vendredi 5 septembre 2014

Invitation pour le 27 septembre à un concert Bénéfice CHANGER LA VIE DE GENS


 
Bonjour,
 
Depuis l’an 2000, le Québécois Gilles Raymond et des paysans de l’île de Florès, située en Indonésie, ont apporté l’eau potable à 36 villages qui en étaient privés. En 2014, le Club Rotary de Sainte-Foy vient donner un nouveau souffle à cette quête de l’eau.
 
Grâce au concert-bénéfice qu’il organise le 27 septembre à la salle Dina-Bélanger du Collège Jésus-Marie et qui mettra en scène Le Choeur Gospel Célébration de Québec, les foyers de 18 nouveaux villages pourront bientôt avoir accès à l’eau. Ce spectacle électrisant, donné par un ensemble lauréat de nombreux prix, aura pour invités d’honneur Gilles Raymond et le gouverneur régional de Florès. En vous joignant à eux, vous contribuerez avec nous à bâtir un monde qui n’a plus soif.
Vous trouverez ci-joint l’invitation pour le concert-bénéfice. Billets de 50.00 $ ou 100.00 $
Espérant que vous assisterez à ce formidable spectacle, je vous invite à me contacter pour vous procurer des billets. 
 
Mariève Tremblay 418-650-6829 ou par courriel : journaldemary@gmail.com
 
Pour plus d¹information sur le Choeur Gospel Célébration de Québec :
 
Pour plus d¹information sur le travail de Gilles Raymond :
 
Pour plus d¹information sur le Club Rotary :
 
 
 


mardi 12 août 2014

Mort de l'acteur Robin Williams! Dépression, bipolarité...suicide! Quelle tristesse


ROBIN WILLIAMS
 
AU REVOIR

 
Ce matin, en partant de la maison pour aller au boulot. Je descendais les escaliers et sous le pas de la porte de mon voisin, j’ai eu un face à face avec la première page du Journal de Québec annonçant que cet acteur est décédé. Ouf! Ce

On dit qu'il était bipolaire, et que cette maladie mentale très intense a eu raison de lui, ces démons l'ont dévorés de l'intérieur. Quelle tristesse. J'ai entendu plusieurs histoires touchantes et difficiles de gens qui vivent avec des troubles de bipolarité. C'est excessivement difficile de vivre avec de tels fantômes intérieurs. Un suicide par asphyxie il semblerait! Mais j'ai entendu aussi, qu'il se serait ouvert les vennes, pendu avec sa propre ceinture....On dit qu'il avait un début de parkinson et qu'il ne l'acceptait pas dutout....On dit tellement de choses...mais il souffrait sous plusieurs angles assurément.

My god...Il souffrait ces derniers temps d'une dépression sévère comme l'a mentionné son attachée de presse, Mara Buxbaum.
C'est très funestre cette nouvelle et je dois dire que je suis vraiment surprise. J’ai eu envie d’en connaître un peu plus sur les circonstances de sa mort, puisque je n’aurais jamais cru que derrière le regard de cet homme merveilleux au joli minois, si remarquable, fascinant, divertissant et enjôleur, existait une grande noirceur.
De plus, j'ai eu un frisson dans le dos, puisque pas plus loin que dimanche, j'écoutais un de ces multiples succès cinématographiques. Quelle coïncidence.
 
J'ai vu cette photo...qui m'a transperçée. Quelle tristesse, quelle souffrance, c'est une couleur qui rongeait l'intérieur de cet homme magnifique qui a marqué l'histoire sous bien des manières. Oui, un légendaire acteur. Ceux que l'on croit parfois les plus drôles, les plus heureux, sont parfois ceux qui souffrent le plus. Derrière le masque de Monsieur sourire, planait une grande détresse.
 

J'ai été touchée par les poar

L'émotion plane un peu partout dans le monde, mais surtout dans l'entourage proche de ce cher regretté Robin! La douleur est encore plus vive et agressive puisqu'il s'agit d'un suicide. Il a donc été révélé au monde entier le grand degré de souffrance qu'il vivait, chose que bien peu de gens pouvaient soupçonner. Moi la première! J'ai naviguer un peu sur le web et je vous site certains passages pour mieux comprendre ce drame. en lisant j'ai compris qu'il avait bons nombres de nuages noirs dans sa vie.
 
"On savait Williams aux prises avec ses démons, comme le sont d'ailleurs bien des humoristes et acteurs qui travaillent sans filet en repoussant toujours plus loin leurs limites. Mais ils n'en meurent pas pour autant. Du moins, pas tous. Pourquoi lui? Pourquoi maintenant? Pourquoi partir alors que la planète n'a jamais eu autant besoin d'un regard aussi génialement fantaisiste?

Barack Obama lui-même, a réagi au décès du comédien. «Robin Williams était un aviateur, un médecin, un génie, une gouvernante, un président, un enseignant, un Peter Pan vieillissant. Il était unique en son genre. Il est entré dans nos vies comme extraterrestre, mais il a fini par toucher toutes les parties de l'âme humaine.»
 
La bipolarité de Robin Williams était notoire. Ses excès d'alcool étaient aussi connus. Mais l'annonce d'une mort par suicide comporte toujours un aspect plus choquant. Sentant bien l'émoi créé par cette disparition aussi subite que tragique, l'amoureuse de l'acteur, Susan Schneider, a rendu publique une déclaration dans laquelle elle exprime son profond chagrin. Elle a par ailleurs aussi lancé un appel."

 
Voici les mots de sa femme:
 
«Je souhaite que l'accent ne soit pas mis sur les circonstances de la mort de Robin, mais plutôt sur les innombrables moments de joie et de rire qu'il a donnés à des millions de gens»

 
 
 

 


 

 
 
 

 
 



 
 
 
L'acteur, originaire de Chicago, avait trois enfants.
Sa femme Susan Schneider, épousée en troisièmes noces en 2011.
La carrière de Robin Williams s'est étalée sur quatre décennies, passant d'un registre à l'autre, du dramatique au comique en passant par la télévision.
Après avoir étudié l'art dramatique à la prestigieuse Julliard School, il a commencé sa carrière par des spectacles de one-man show dans des clubs de nuit. Il a percé dans un épisode de la série Happy Days en 1974, puis dans un film télévisé tiré du personnage de Mork qu'il y incarnait, Mork and Mindy, pour lequel il reçu son premier Golden Globe.
 
Il en a eu quatre au total, notamment celui du meilleur acteur pour Good morning Vietnam, de Barry Levison, un rôle grâce auquel il a atteint une renommée mondiale. Il a conquis le grand public du monde entier avec un rôle poignant de professeur brillant face à des adolescents influençables dans La Société des poètes disparus (1989), et dans un registre comique dans des films comme Madame Doubtfire (1993), qui lui a également valu un Golden Globe, ou encore dans la série de films pour petits et grands La nuit au musée.
C'est grâce à sa performance dans Le destin de Will Hunting qu'il a reçu son seul oscar en 1998, dans la catégorie meilleur second rôle. Il avait été nominé trois autres fois.

La vie personnelle de Robin William n'a toutefois pas toujours été une comédie. Il a reconnu avoir été toxicomane et alcoolique au cours des années 70 et 80. L'acteur avait annoncé qu'il avait recommencé à boire mais cela ne l'empêchait pas d'en rire. «Je suis allé me faire traiter là où il y a du vin. Je veux garder toutes mes options», lançait-il pendant sa dernière tournée de spectacles.
 
Né en 1951, Robin Williams racontait qu'il était un garçon timide qui pouvait faire rire sa mère en imitant sa grand-mère. Il est devenu plus ouvert à l'école secondaire quand il s'est inscrit dans une troupe de théâtre. Il a été accepté à l'académie Julliard où il a suivi plusieurs cours avec un seul autre élève, Christopher Reeve. Leur professeur était John Houseman qui l'a encouragé à devenir comédien.
 
Pour Robin Williams, la vie ressemblait à ses séances quotidiennes de course sur le pont Golden Gate. Il regardait parfois dans le vide, une partie de lui-même reculait de peur, l'autre insistant pour voler. «On a une tendance à se critiquer soi-même, à se dire qu'on peut faire plus. C'est peut-être ce qui nous fait avancer, disait-il. C'est peut-être un démon, d'autres disent que c'est une muse. Non, ce n'est pas une muse! C'est un démon! FAIS-LE, BÂTARD! Ha!HaHa! CE PETIT DÉMON!»

«Je ne peux pas croire qu'il soit mort» Est la phrase sur toutes les lèvres en ce moment!

Bon nombre de personnalités ont été grandement attristées par l'annonce de la mort inattendue du comédien américain Robin Williams.
 
Le réalisateur Steven Spielberg, qui l'avait engagé pour jouer un Peter Pan vieillissant dans Capitaine Crochet a dit de Robin qu'il était un créateur de génie. «Robin Williams était un éclair. Le rire du public, son tonnerre. C'était un ami et je ne peux pas croire qu'il soit mort», a-t-il déclaré par communiqué.
 
Plusieurs ont fait état de leur surprise. «Je ne peux pas être plus stupéfait par la perte de Robin Williams, un grand homme, un être talentueux, un partenaire, un génie authentique», a écrit sur Twitter le comédien Steve Martin, avec qui il avait partagé la scène sur Broadway en interprétant
En attendant Godot.
 
La comédienne Pam Dawber, qui était la Mindy de la série Mork and Mindy a dit qu'elle était «complètement dévastée» par la nouvelle. «Que peut-on dire de plus?»
 
Le comédien Steve Carrell a souligné que l'acteur rendait le monde meilleur. Quant à Ben Stiller, il s'est exprimé en disant qu'un message tweet «ne commence même pas à décrire l'immensité de son coeur, de son âme et de son talent».
 
Jay Leno a raconté qu'il avait rencontré Williams pour la première fois lorsque celui-ci avait passé une audition à l'Improv (une chaîne de clubs). «Nous sommes demeurés amis depuis ce temps. C'est une journée très triste.»
 
L'onde de choc de la mort de Robert Williams a rapidement atteint le Québec.
«Troublant à quel point les plus drôles sont souvent les plus tristes...», a affirmé Dany Turcotte.
 
Comme plusieurs, les circonstances de la mort de Robin Williams ont ému le comédien Martin Petit. «On a eu la lumière, il s'est gardé l'ombre», a-t-il écrit.

Va en paix mon cher Patch, mon cher Peter Pan, mon cher Robin!



 

vendredi 8 août 2014

Mariève Tremblay a une belle rencontre avec Josélito Michaud ! J'ai déjà hâte de te revoir :)

 
Josélito Michaud
 
 
 
 Embarquons ensemble
pour un petit voyage au coeur des mots!
 
 
 


 
 
 
 
On le connait bien grâce à ces talents d'imprésario, d'auteur de livres à succès comme Passages obligés qui parle de deuil, Dans mes yeux à moi ou La gloire démystifiée. On le connait aussi comme animateur de radio, gérant d'artiste pour Isabelle Boulay, comme dirigeant de la première édition de Star Acadmie, 
on le surnome " l'homme-orchestre de la scène médiatique". Un être ayant vécu une enfance terriblement difficile, dont il a peine encore à se remettre aujourd'hui. C'est un battant, un vaincoeur et à travers mes yeux à moi, il est un être revenu de loin, une âme qui a voyagée en suivant une étoile bien précise. Dans mes yeux à moi, il est un homme à part, d'une force inépuisable, au talent indiscutable et avec un coeur en or. Également un époux aimant, marié à la belle Véronique Béliveau depuis 20 ans, père de deux beaux enfants qu'ils ont adoptés. 
 
Son histoire m'a marquée sous bien des sphères, et son courage, je le Salut. Tu es un homme exceptionnel Josélito Michaud!
 
 
 
J'ai été hypnotisée par son émission:
"On prend toujours un train" qui m'a fait pleuré d'une manière inimaginable, j'étais toujours profondément boulversée quand je regardais ces émissions. Parfois même je me demandais pourquoi ça me touchait à ce point et pourquoi j'étais si inconsolable.
Mon âme, mon esprit, mon coeur et tout mon être étaient transporter ailleurs, dans une mémoire, dans des parties de moi cachées où la souffrance et certaines blessures ne pourraient jamais être totalement oubliées. Et toute la beauté, l'amour, l'amitié, la complicité et l'espoir qui découlaient de cette émission m'ennivraient tout autant.
 
Depuis, je rêve d'être un jour assise face à lui dans ce train pour lui parler ouvertement tout en voyant les paysages se défiler devant mes yeux, ouvrant mon coeur à cet homme qui est unique, au vécu vif, ayant vécu des moments sépulcraux. J'ai beaucoup de respect pour cet homme, son histoire m'a marquée et ma rencontre avec lui aussi, il m'a prit dans ces bras et il se rappelait même de moi, puisque quelques années auparavant, on avait eu un contact. Je lui parlais de mes écrits. Quand il m'a vu, il m'a dit : Et puis, il est où ton livre? Je l'ai trouvé absoluement merveilleux et j'ai été très heureuse de le rencontrer. Il est très drôle et attachant, j'ai tout de suite connectée. Il m'a fait des confidences par rapport à l'écriture et j'ai pris conscience de certaines choses sur moi-même également. Merci pour ce beau moment. Ça été un honneur de te rencontrer.
 
J'ai lu son livre : Dans mes yeux à moi et j'ai pleuré, j'ai ragé, je me suis vu en lui sous bien des manières et son histoire m'a boulversée au plus haut point. J'ai passé par toute la game des émotions. Oui, c'est venu chercher l'émotion au plus profond de mon être, aussi profond que peut l'être un océan. Un océan d'amour où j'y nage depuis ma naissance. J'ai toujours dit que Dieu avait dû me donner plus d'un coeur, car aimer comme j'aime, ne peut être possible pour un seul coeur. J'ai toujours dit que j'aimais pour tous ceux qui étaient incapable d'aimer ou pour tous ceux qui manquaient d'amour. Depuis que j'ai 2 ans, le jour où j'ai pris mon petit frère dans mes bras, j'ai compris que l'amour était ma mission de vie, car j'en suis immergé depuis toujours. La vie a fait de moi une âme maternelle envers tous, la mère thérésa de la famille comme le dit si bien ma famille et amis(es).
 
( Mon éloge littéraire sur ce récit de Josélito sera publier sur mon Blog Bouquinerie CafeyCho comme d'habitude)
 
Il a dit ceci dans une entrevue un jour : «Je suis un autodidacte, j’apprends en faisant. Je n’ai jamais été comme les autres. C’est comme ça que je suis. Je ne sais pas faire comme les autres et je ne serais pas bon si j’essayais.»
 
Ces mots ont raissonnés dans ma tête, car ils ont également été écrits pour moi. Comme si Josélito avait entendu mes pensées et y avait déposé des mots qui sonnaient comme des notes de musique jouant la symphonie de ma vie et de ma personnalité.
 
Cher Josélito, j'espère qu'on aura bientôt la chance de se revoir. Oui, je vais avoir terminé sous peu mon récit, promis :) J'ai très hâte de te faire découvrir mon histoire à moi, sous mon soleil à moi, sous mes yeux à moi.
 
Mon Éloge sur ton livre que je viens de terminer te sera envoyé dans les prochains jours.
 
 
Continue à marcher sur cette ligne de ta vie, car tu es bénis et guider par une force d'amour.
Merci d'être qui tu es. Merci d'avoir croisé ma route.
 
Sincèrement,
Mariève