mardi 1 octobre 2013

Le Dalaï-Lama et son art de compassion! Un être spécial! Vous connaissez son histoire? Mariève Tremblay vous en parle!

L'histoire en résumé qui m'intéresse beaucoup :

Du Dalaï-Lama:
 
 
Que tous les êtres soient libérés de leur souffrance.
Voilà comment le bouddhisme définit la compassion.
 
Malheureusement, débarrasser le monde des malheurs qui l'accablent paraît une tâche dépassant nos forces, puisqu'il n'existe pas de baguette magique qui puisse transformer l'affliction en bonheur. Nous pouvons, en revanche, faire progresser notre esprit sur le chemin de la vertu et aider notre prochain à faire de même.
 
En août 1999, Le Centre tibétain et la Fondation Gere avaient invité le dalaï-Lama à donner une série de conférences à New York. Il nous apprend comment ouvrir notre cour et témoigner une compassion véritable et durable à l'ensemble des êtes sensibles. La vie même du Dalaï-Lama témoigne de la puissance de cette ouverture du cœur. Son propre entraînement spirituel commence dès sa petite enfance. Reconnu comme étant la réincarnation du treizième dalaï-Lama à l'âge de 2 ans, il est emmené ors de sa famille, au nord-est du Tibet, et conduit à Lhassa, la capitale. à 16 ans, il prend la direction des affaires temporelles de son pays. Quelques années plus tard, l'armée chinoise envahit le Tibet. Sa croyance en la non-violence et en la tolérance est mise à l'épreuve, avec une extrême violence. Il protège néanmoins son peuple du mieux qu'il peut et tente de tenir ses agresseurs en respect, tout en poursuivant ses études et sa pratique de la voie bouddhiste du salut.
 
en 1959, les communistes chinois s'apprêtent à bombarder son palais d'été; Le Dalaï-Lama, alors âgé de 24 ans, est contraint de s'enfuir. Plus de cent mille Tibétains le suivent dans cet exil. Aujourd'hui, la diaspora tibétaine disséminée tant en Inde que dans le reste du monde se consacre à une extraordinaire campagne non violente pour la libération du Tibet.
 
À Dharamsala, la ville indienne nichée dans les contreforts de l'Himalaya, Sa Sainteté a établi un gouvernement démocratique tant au service des Tibétains restés au Tibet que du grand nombre de réfugiés vivant dans des camps en Inde ou dans d'autres pays. Il a travaillé à préserver la culture tibétaine dans son ensemble et tout particulièrement la tradition spirituelle, tant il est vrai qu'au Tibet culture et spiritualité sont inséparables. Il maintient sa pratique de l'étude de la contemplation et de la méditation et enseigne sans relâche la voie bouddhiste. Afin de préserver la vitalité de la  compréhension bouddhiste du monde, telle qu'elle fut exposée par le Bouddha Sakyamuni, son initiateur, il s'emploie à la réhabilitation de couvents et de monastères ainsi qu'à la remise en route de cycles d'études et des pratiques traditionnelles.
 
Je trouve fascinant l'histoire de cet homme!
 
 
C'est merveilleux!

Mariève

 
 
 

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