mardi 2 juillet 2013

Flash Actualité par Vanderlei Almeida. Manifestation au BRÉSIL,dans une favela contre "l'Etat qui tue"

Des heurts ont opposé manifestants et policiers, dimanche 30 juin, près du stade Maracana à Rio. L'était qui tue! Ce mot veut tout dire de comment les gens peuvent se sentir en ce moment, comme un numéro de foire, une vache à lait, qui donne donne donne sans recevoir, L'état qui leur pied le menton au sol, c'est  le chaos et les gens le crient en fin. Mais le peuple parle, le peuple qui sans eux, le gouvernement n'existerait pas. Faite vous entendre mes amies, amis, je suis avec vous, j'entends votre voix du Canada. Je souhaite qu'il n'y ai pas de mort et pas trop de violence dans ce combat contre l'état depuis le début, mais à mon grand regret, ce n'est pas le cas, il y a eu des morts et des plusieurs blessés. Cela est tragique.

Je trouve ahurissant que l'était puisse avec son pouvoir, tuer son peuple, tuer la richesse et l'abondance de leur peule, tuer les bonnes écoles, les bonnes études, tuer l'esclavage même parfois, car les gens travaille à la sueur de leur front, pour recevoir peu au bout du compte. Les riches sont très riches et sont cachés derrières des mûrs blinder avec portier, et la rue à côté, les gens et les enfants traînent dans les rues, sans foyer, sans rien à manger. Que font-il pour survivre? Il commence à voler pour manger, pour survivre, chose qui n'est pas un crime, le crime est de laisser ces gens dans ces rues. Et pour survivre plus longtemps il doit s'accrocher à un gang, devient trafiquant d'armes ou de drogues dans les favelas...Tout est le résultat des agissement égocentriques de L'état, La politique.




 







Voici des photos une où l'on voit des centaines de personnes manifester aujourd'hui même, dans les favelas de Maré à Rio de Janeiro et partout au Brésil pour dénoncer "l'État qui tue" et la violence policière, lors d'un hommage aux victimes d'affrontements avec la police.

Sous le slogan "l'État qui tue, jamais plus!", les manifestants ont pris pacifiquement possession des  rues d'une des autoroutes traversant Rio, qui était bloquer par la police.

Dilma Rousseff, le désamour :Lors d'une réunion avec le mouvement Passe livre, qui défend la gratuité des transports publics, à l'origine des manifestations, à Brasilia, le 24 juin.

En trois mois, la présidente brésilienne est passée de 65% d'opinions favorables à 30% fin juin. Le plus violent décrochage de l'histoire démocratique du Brésil. On vantait sa rigueur et sa discrétion. On dénonce son dirigisme, son isolement.
 



Deus a proteja meus amigos, amigos. A justiça do homem merece ser ouvido. Deus vai cuidar de você, para que a justiça é a de dar ao povo, sim, o pleuple merece ter o melhor em qualquer ponto. Dar-lhes a liberdade de viver.
 
 A l'issue de la finale de la Coupe des confédérations, dimanche 30 juin, des milliers de manifestants sont parvenus à 300 mètres du stade Maracana.   

Deus abençoa voce

M
 



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