Si je peux être tout à fait honnête, ça me met dans tous mes états la majorité du temps. Je pense qu’il y a qu’un seul gouvernement que j’admire réellement en ce moment et c’est Lula, le président de la République fédéral du Brésil de 2003 à 2011. Il vient à peine de finir son mandat, et malheureusement il ne peut plus diriger ce pays. Je l’engagerais bien pour venir au Canada moi !!! Il est classé par le « Time » comme le dirigeant le plus influent au monde et je suis entièrement d’accord! Mais influent positivement parlant et ça, c’est tout un exploit!
Luiz Inácio Lula da Silva
Par exemple, une chose merveilleuse parmi tant d’autre qu’il a fait et je cite un journaliste:
Pour la première fois de son histoire, grâce à Lula le Brésil devient un pays de classes moyennes, qui passent de 30,9 % de la population en 1993 à 42,3 % en 2004 et 51,9 % en 2008. Cette mutation sociale est considérable pour des millions de Brésiliens, qui peuvent consommer, voire épargner, ou encore entrer dans l’économie formelle grâce à un contrat de travail. Cercle vertueux, la réduction de la pauvreté dynamise d’autant mieux que la conjoncture mondiale était porteuse. Lula a donc réussi son pari de faire baisser la pauvreté et les inégalités, mais sans apporter de solution pérenne aux problèmes structurels du Brésil. […]
Lula a légué, un « héritage béni ». Une croissance économique de plus de 7% cette année. Une pauvreté et un chômage en baisse. Des revenus à l’exportation, agricoles et miniers, en forte expansion, grâce notamment à la bonne tenue des cours mondiaux. Un épais coussin de devises de 250 milliards de dollars. Des promesses de richesse avec le pétrole et le gaz découverts dans les eaux très profondes de l’Atlantique. Un sentiment de bien-être d’une grande partie de la population qui peut dépenser et consommer plus. Et sur le plan politique, une forte majorité pro-gouvernementale au Parlement, qui lui permettra, si elle le souhaite, de réformer la Constitution.
Sous les huit ans de règne de Lula, la pauvreté a nettement reculé. Mais le pays compte encore 30 millions de personnes dans la misère, sur une population de 190 millions. Il manque 5 millions de logements. Un tiers des Brésiliens ne disposent pas du tout-à-l’égout et des conditions d’hygiène minimale. Les services de santé restent déficients et souvent trop chers.
Ça oui, entendre parler de l’histoire d’un homme politique qui a fait de grandes choses pour son peuple…..ça m’intéresse! C’est un homme rempli de possibilités qui a fait quelque chose de grandiose, de constructive de son « pouvoir » pour aider le peuple, un homme bon, un homme de cœur! Si on avait un gouvernement comme cela ici et dans le monde entier, la vie serait plus la même croyez-moi. On ferait de ce monde un monde meilleur, on pourrait euh....abolire la famine, l’esclavage encore présente ou l'exploitation des enfants ou des femmes, la pauvreté, on sauverait la vie de millions d’enfants du tiers-monde, on diminuerait la violence, la colère, la haine, le suicide, on pourrait diminuer le trafic d’armes, de drogues et les meurtres qui arrivent souvent à cause de toutes ces raisons justement.
Bref, si on avait un gouvernement de la même trempe que Lula, oui, j’aimerais la politique, je ne me sentirais pas comme un simple numéro d'assurance social, ou comme une « vache à lait » pour enrichir leurs poches! Je ne sentirais pas qu’on se fou de ma gueule en me réclamant des montants exponentiels d'impôt ou de taxes, en riant de nous haut et fort bien souvent….on se fait remplir la tête de mensonges de politiciens….sans rien construire. J’en peux plus des discours politiques mercantiles!
Voilà!
Bref, si on avait un gouvernement de la même trempe que Lula, oui, j’aimerais la politique, je ne me sentirais pas comme un simple numéro d'assurance social, ou comme une « vache à lait » pour enrichir leurs poches! Je ne sentirais pas qu’on se fou de ma gueule en me réclamant des montants exponentiels d'impôt ou de taxes, en riant de nous haut et fort bien souvent….on se fait remplir la tête de mensonges de politiciens….sans rien construire. J’en peux plus des discours politiques mercantiles!
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